La France fait face à une pénurie de places en établissements médicosociaux, une situation critique qui touche à la fois les personnes âgées et les personnes cérébrolésées. Actuellement, le pays compte :
610 000 places en EHPAD pour une population de plus de 65 ans dépassant les 14 millions de personnes (source : DREES, 2023).
160 000 places en résidences autonomie, une offre souvent inadaptée aux besoins des personnes en perte d’autonomie (source : CNSA, 2023).
35 000 places en habitats inclusifs, un modèle en développement mais encore trop limité.
À peine 10 000 places dédiées aux personnes cérébrolésées, alors que l’ONISR estime à 40 000 le nombre de nouveaux cas de traumatismes crâniens sévères par an.
Les projections démographiques et sanitaires indiquent que la situation va empirer : d’ici 2050, la France comptera 5 millions de personnes âgées de plus de 85 ans (source : INSEE, 2023), tandis que les progrès médicaux permettent une meilleure prise en charge des traumatisés crâniens, augmentant ainsi les besoins d’accueil spécialisés.
L’évolution démographique et l’augmentation des accidents (accidents de la route, AVC, traumatismes divers) contribuent à l’accroissement des besoins en hébergement adaptés :
Une demande croissante de structures spécialisées pour les personnes âgées dépendantes et celles souffrant de lésions cérébrales.
Une pression sur les aidants familiaux, qui doivent pallier le manque de places en établissements médicosociaux.
Une insuffisance de solutions adaptées pour les jeunes adultes cérébrolésés, souvent orientés vers des EHPAD alors que ces structures ne sont pas adaptées à leurs besoins spécifiques.
Selon un rapport de la Haute Autorité de Santé (2022), plus de 30 % des familles peinent à trouver une structure adaptée pour un proche cérébrolésé, faute de places et de solutions intermédiaires.
La recherche d’un établissement médicosocial est souvent un parcours du combattant pour les familles, avec plusieurs obstacles récurrents :
Une absence de places disponibles, obligeant certaines familles à patienter des années ou à s’orienter vers des solutions inadaptées.
Un manque de structures adaptées aux personnes cérébrolésées, conduisant à des placements en EHPAD inappropriés.
Des coûts élevés, avec des tarifs moyens de 2 000 à 3 500 euros par mois en EHPAD.
La peur de la maltraitance et de l’isolement, alimentée par des scandales et une communication parfois opaque des établissements.
Pour améliorer l’acceptation des établissements médicosociaux, il est crucial de :
Développer une transparence accrue sur les conditions d’accueil et les activités proposées.
Créer plus d’espaces adaptés aux personnes cérébrolésées, avec des soins spécifiques et un cadre stimulant.
Favoriser les interactions avec les familles, pour que l’entrée en établissement ne soit pas synonyme de rupture sociale.
Face à ces défis, Marcel propose une réponse innovante en facilitant la communication et le suivi des résidents :
Une plateforme interactive permettant de partager les activités des résidents avec leurs proches.
Un outil simplifié pour les familles, offrant une transparence accrue sur le quotidien des résidents.
Un support pour les soignants et animateurs, facilitant l’organisation et la mise en place d’activités adaptées.
Une interface pensée pour les personnes cérébrolésées, leur permettant de rester connectées avec leur entourage et de bénéficier de contenus adaptés à leur rééducation et à leur bien-être.
En plaçant l’humain et la transparence au cœur des établissements médicosociaux, Marcel contribue à améliorer le bien-être des résidents, tout en rassurant les familles sur la qualité de l’accompagnement proposé.
👉 Découvrez comment Marcel transforme l’accompagnement des personnes âgées et cérébrolésées en facilitant le lien entre résidents, familles et professionnels !
